viernes, 9 de diciembre de 2016

Le serment du Jeu du Pomme

Cet oeuvre s'appelle 'Le serment du Jeu du Pomme' il a été peint par Jacques-Louis David entre 1790 et 1794, dans l'epoque du Néo-classicisme, et maintenent il est dans le Musée Carnavalet de Paris.

Cet événement fondateur de la Révolution française constitue une étape symbolique dans la fin de l’absolutisme.
L’ouverture des états généraux le 5 mai 1789 à Versaille savait suscité une grande serie de procédure : le tiers état souhaitait la réunion des trois ordres ainsi que le vote par tête, le vote par ordre donnant nécessairement la majorité au clergé et à la noblesse. Face au refus du roi, le tiers état se proclama Assemblée Nationale. et appela les deux autres ordres à le rejoindre avec lesquelles il forment l'Asemblée Nationel Constituente. De simples mandataires convoqués pour voter des impôts nouveaux, ils devenaient des députés de la Nation. Pour faire obstacle à cette décision proprement révolutionnaire, le roi Louis X fit fermer la salle de réunion de séputés. Les députés se rendirent alors dans une salle de jeu de paume toute proche.

Le 20 juin 1789 Ils y proclamèrent que, quel que soit le lieu où ils étaient réunis, là se trouvait l'Assemblée nationale, et ils jurèrent solennellement de ne pas se séparer avant d'avoir donné une constitution à la France. Le serment fut signé par tous les représentants. Cet épisode marqua une étape décisive, et il était représenté dans cet image.

Le Sacre de Napoléon

Cette oeuvre s'appelle 'Le Sacre de Napoléon', elle a été realisé par Jacques-Louis David en 1808 et actuellement nous la pouvons trouver dans le Musée du Louvre à Paris.
L'oeuvre représente le moment où le Premier Consul Bonaparte se fait sacrer empereur sous le nom de Napoléon 1er le 2 décembre 1804. Napoléon fait organiser une grande cérémonie religieuse et donne une dimension sacrée à son avènement. Cette oeuvre est réprésente dans un grand tableau qui devra conserver la mémoire de cet événement exceptionnel. Nous pouvons voir l’intérieur de la cathédrale Notre-Dame, dans le chœur de la Cathédrale. Le cadre avec les hautes colonnes de marbre et les rideaux rouges et les tentures. La lumière baigne les personnages principaux et notamment Napoléon en plein centre.

Le tableau offre beaucoup de portraits; le pape Pie VII en train de couronner Napoléon X, sa épouse Joséphine de Beauharnois et apparaissent aussi les grands dignitaires, les ambassadeurs, les maréchaux, les deux frères et les trois sœurs de Napoléon, la cousine et la dame d’honneur de Joséphine. Et trônant au centre de la loge, Laetitia, la mère de Napoléon. David, le peintre du tableau, a fait son autoportrait et s’est entouré de sa femme, de ses filles, de ses élèves et amis. 

Les femmes dans la Révolution

Les femmes dans la Révolution


En août 1789, la Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen est proclamée. Mais l'égalité des citoyens est apparente car les femmes sont encore écartées de certains domaines de la vie : elles ne peuvent pas exercer de fonction politique, ne peuvent pas voter... Le 5 octobre 1789, face au prix très élevé du pain, une foule composée uniquement de femmes marche sur Versailles pour réclamer du pain à le roi Louis XVI. Elles prennent alors une part importante aux revendications de la Révolution. Elles montrent qu'elles existent.


Militantes et engagées, connues ou non, des femmes de toutes les classes sociales participent à la Révolution à leur manière. Des femmes de l'aristocratie, de la noblesse et de la bourgeoisie se regroupent en comités et en clubs, elles organisent des réunions publiques et privées, écrivent des cahiers de doléance, commentent les journaux et les lois. On appelle leurs salons « la République des lettres ». Des ouvrières, domestiques, paysannes, couturières… manifestent dans la rue, s'installent aux tribunes, veulent exercer et protéger certains métiers. Elles sont différentes mais ont un point commun : on parle d'elles presque toujours par rapport à leur mari. Par les actions d'Olympe de Gouges, Charlotte Corday et de Théroigne de Méricourt entre autres…, nous avons la base des mouvements de libération de la femme.